jeudi 30 décembre 2021

Piqûre de rappel !

Le mardi 3 août 2021, j'ai mis en ligne sur ce blog l'article hors-sujet suivant "Qu'en penserait Rimbaud ?" J'y commentais un tableau d'une étude israélienne sur six mois de vaccination dans un pays.


L'étude de ce graphique se terminait par cette phrase très précise : "Vous êtes prêts à vous faire vacciner tous les trois mois ?"
Ce tableau montre l'opposition entre l'inefficacité du vaccin quant à la contagion du virus et son efficacité contre les cas graves (et efficacité limitée sur les six mois puisque si l'efficacité reste haute, elle commencerait peut-être son déclin à partir du cinquième ou sixième mois).
Je disais que le but d'une vaccination était d'atteindre l'immunité collective qui ne se joue que quand la population est efficacement vaccinée à 75% contre la simple infection. C'est pour cela que cette stratégie suppose de se rapprocher de la dose de rappel tous les trois mois. Mais je précise que la théorie de l'immunité collective est un modèle théorique vétérinaire qui ne s'applique pas aux humains, aux rapports interétatiques mondiaux et aux retours de la zoonose sur les êtres humains, qui ne s'applique pas aux activités humaines et au fait que l'être humain utilise abondamment ses mains qui sont préhensiles.

Mais, à part par la petite portion de gens qui sont d'accord avec moi, je me suis fait mal voir en commentant ce tableau. Sur le net, c'est la censure ou le mépris.

Il n'est pas un peu temps de regarder les choses en face.
On m'en veut parce que je me méfie des vaccins de la veille.
Les vaccins russe et chinois sont si pas interdits comme interdits dans l'Union européenne. Pour des raisons géopolitiques, mais les fans de vaccins admettent sans ciller cette interdiction. L'Astra Zeneca et le Jansen & Jansen un terme à leur emploi a été mis. Je disais dans l'article cité ci-dessus que malgré une vaccination à 100% (rendue possible par la situation militaire) l'épidémie était repartie à Gibraltar à l'époque. Des études prétendent même qu'au bout de quelques mois les vaccinés à l'Astra Zeneca, après un temps de meilleure défense, sont plus contagieux que les non-vaccinés, ce qui redirait un scandale qui a déjà eu lieu avec un autre vaccin aux Philippines, et cela suffit à faire réfléchir que pour le monde médical le fonctionnement des virus est encore pour partie inconnu.
Le Moderna lui-même a été mis à l'index dans cinq pays de l'Union européenne et est désormais déconseillé aux moins de 30 ans. Pour ne pas que les stocks soient périmés, on l'écoule rapidement en le rendant obligatoire (il y a eu le cas en Bretagne) aux plus de trente ans.
Comme par hasard, le vaccin qui n'avait rien à craindre et sur lequel on pouvait tous parier le Pfizer est le seul qui ne souffre d'aucune remise en cause. Madame von der Leyen, dont le mari est lié à Pfizer, embrasse sans masque le directeur de Pfizer, et ça ne vous met pas la puce à l'oreille.
Les données de la pharmacovigilance ne sont pas clairement exploitables, est-ce normal ? Aucune étude complète n'a été conduite au sujet de l'ivermectine, et pour ne pas la conduire on prétexte qu'il y a une pénurie de ce médicament utilisé abondamment depuis des décennies (actuellement interdit en France).
Depuis deux ans, on nous raconte que les pays qui ne vaccinent pas et ne confinent pas nous mentent sur leurs chiffres. C'est ça oui, la Suède, la Chine, l'Inde, tous des menteurs ! Il n'y a que les Etats-Unis et l'Union européenne qui ne mentent jamais, c'est bien connu !
Le problème n'est pas que de la dangerosité éventuelle du vaccin, il y a un problème de monopole ambigu de Pfizer. La technologie adénique du Spoutnik V, de l'Astra Zeneca et du Jansen & Jansen est tout aussi révolutionnaire et à observer avec prudence que la technologie à Arn Messager, et même un vaccin traditionnel peut être dangereux. Mais le vaccin Pfizer s'appuie sur le non-financement d'un vaccin franco-autrichien au sein de l'Union européenne, sur l'interdiction géopolitique et non sanitaire des vaccins russe et chinois, sur l'interdiction de l'ivermectine et le non-développement de procédés multi-médicamenteux. Pourquoi aucun travail sur les traitements, ou un refus de les soutenir ? Pourquoi le seul traitement dont on se félicite est celui, toujours à venir, de Pfizer ?
Le problème de ce monopole va de pair avec un problème économique, de plus. Combien ça coûte à la société le luxe de la vaccination tous les trois mois au Pfizer ?
Cette vaccination appliquée aux enfants pose évidemment un énorme problème moral. C'est les parents qui décident, et ils n'admettront jamais s'être trompés une fois qu'ils auront vacciné leurs enfants. Ils n'admettront jamais avoir fait prendre un risque à la santé de leurs enfants. Une fois qu'un parent a fait vacciner son enfant, il devient un soutien solide à la campagne de vaccination. Mais, cette vaccination est expérimentale et il me semblait qu'elle était conditionnée à un exigence de résultats qu'on n'a pas constatée jusqu'à présent. L'épidémie est toujours là. Il paraît d'ailleurs qu'on ne doit pas vacciner pendant une épidémie car le virus en pleine forme s'adapte à la vaccination en cours. On pouvait imaginer une position éthique où les adultes se vaccinent, mais à la condition sine qua non qu'on ne touche pas aux enfants. Au fil des mois, le discours évolue, toujours sur le même modèle : "on ne touchera pas aux enfants, un peu, peut-être qu'il ne faut pas, finalement si, et le plus possible". Vous jouez aux apprentis sorciers avec un vaccin qu'on retente tous les trois à six mois.
On vaccine les enfants, on vaccine les gens qui ayant eu la covid sont censés être immunisés. Où remontent les données sur les enfants qui ont de violents maux de tête qui perdurent suite à la vaccination au Pfizer ? Pourquoi circule-t-il à bas bruit que certains hauts sportifs une fois vaccinés ne peuvent plus faire du sport ? Pourquoi le Japon met-il l'étiquette que ce vaccin peut avoir des effets secondaires dangereux ? Ce vaccin peut entraîner des myocardites et péricardites, mais on ne sait pas s'il ne fait pas des dégâts qui n'auraient pas de symptômes visibles immédiats. Un fumeur s'abîme la santé sans voir des symptômes immédiats. Vous avez une confiance absolue dans le seul vaccin sur une dizaine qui n'a pas encore été mis à l'index. Vous fonctionnez à la confiance absolue. Dès que quelque chose est dénoncé, vous reformatez rapidement le logiciel. Astra Zeneca, Moderna, vaccin russe, c'est bon, on n'en parle plus, ça n'a jamais existé. Pfizer uber alles ! Le Pfizer est votre dernier rempart. Malheureusement, il est lié aux politiques, milieu dans lesquels il est bien introduit. Ô von der Leyen, etc !
Cette politique vaccinale part aussi en possibilités délirantes de contrôle de la société. On s'est fait voler la démocratie, mais ça n'a pas l'air de vous déranger. Demain, une puce avec les informations vous concernant sous la peau, ça ne vous pose aucun souci, même si vous aimez lire 1984 d'Orwell. Vous gobez déjà tous les mensonges impressionnants des américains en géopolitique internationale. Vous gobez toutes leurs conneries sur la Russie, l'Ukraine, le Vénézuela, la Syrie, les balkans, et j'en passe.
Au fait, on n'en parle plus dans la presse de l'origine possible, et en fait hautement probable du virus dans des laboratoires chinois financés par les américains. Parce que ça aussi, c'est un beau sujet. Wuhan la coïncidence. Oui, vous êtes scientifiques et prudents, vous pensez que la coïncidence existe et vous restez circonspects. Mais, dans ce cas, même si vous pensez que l'origine du virus est naturelle, ce que je ne partage pas avec vous, il reste le problème des études des gains de fonction sur les virus. Pourquoi ne sont-elles pas interdites ? Même si vous pensez que le coronavirus qui sévit est naturel, ben c'est précisément un virus équivalent qui est fabriqué avec des gains de fonction, oui ou non ? C'est marrant comme on vous a endormi sur un sujet éthique qui vous concerne ? Ce n'est pas aux scientifiques de décider s'ils veulent ou non faire des études avec des gains de fonction. C'est un sujet qui intéresse les populations, directement confrontés aux risques, oui ou merde ? Avant, on parlait d'animaux hôtes, du pangolin, plus le temps passe, plus on ne parle de rien du tout, mais alors de rien du tout, rien, pas un chameau, pas un pinguoin ? Les précédentes épidémies, des animaux hôtes avaient bien été identifiés. En tout cas, les études avec gains de fonction ont de beaux jours devant elles on dirait, et en plus si le coronavirus a été financé par des aides américaines, les américains rentabilisent avec les solutions qu'ils imposent derrière.
Quant à Robert Malone, encore une fois, les choses sont impressionnantes. Il n'y a que deux gars qui ont déposé des brevets sur la technologie à Arn Messager. Or, il est paradoxalement contre la vaccination massive avec le vaccin qu'il a contribué de manière décisive à mettre au jour et il le dit et il s'oppose à la vaccination des enfants. Pendant des mois, on a nié qu'il était un inventeur de ce type de vaccin. Maintenant, on en est revenus, mais on le minimise quand même. Il a déposé son brevet en 1989. On dit qu'il n'est plus dans le coup depuis trente ans. Bon, déjà, c'est un brevet qu'il a déposé. Ensuite, une boîte a racheté son brevet et a mis un veto pour les vingt années qui ont suivi, ce qui l'a empêché de poursuivre ses recherches. Et pendant ce temps, il a travaillé pour l'armée américaine, concerné par les questions du genre "guerre bactériologique", ce qui suppose que Malone ne va pas étaler ses travaux dans la presse, mais ce qui suppose aussi qu'il n'est pas en-dehors du coup. Or, on admet sans problème que des journalistes contre-argumentent face à Malone, qui a un brevet décisif quant au vaccin Pfizer, journalistes qui contre-argumentent et insultent des Prix Nobel, des médecins, et ainsi de suite, mais comment est-ce possible ? C'est quoi un diplôme de journaliste, d'ailleurs ? C'est quoi le contenu, les savoirs et le savoir-faire d'un journaliste au cours de ses études ? Je me pose des questions. Un journaliste peut s'improviser historien, épidémiologiste, scientifique, expert en stratégie militaire, expert en politique internationale ? D'où ça vient ce règne des journalistes ? Un journaliste est un con comme un autre, non ? A l'ère d'internet et des médias possédés par des milliardaires, il n'est même plus un con comme un autre, il est un exécutant qui a besoin de la sécurité de l'emploi...
Bon, on ne va pas parler de la fixation sur les ovaires, etc., dénoncée aussi par Malone, mais à partir des documents mêmes de Pfizer, et ainsi de suite. Moi, ce que je vois, dans la contre-argumentation des journalistes, c'est qu'ils disent que Malone n'a peut-être pas raison et que des gens ne sont pas d'accord avec lui, mais si on utilise ce conditionnel c'est que les journalistes n'ont pas la vérité pour eux, ils n'ont pas eux non plus la certitude d'avoir raison. Dans ce cas-là, la prudence est de se méfier des risques de la vaccination en cours. Il convient d'en revenir à la prudence la plus élémentaire.
Il ne s'agit pas d'un combat où à la fin s'il n'y a pas eu de problèmes avec le vaccin, c'est le camp des gens qui vantaient la vaccination qui avaient raison. Objectivement, la conduite actuelle n'est pas prudente. On joue à la roulette russe. Alors, certes, depuis des mois de vaccination, on n'a pas constaté une catastrophe, on se tranquillise, mais la conduite à risques est là, est manifeste, et les résultats efficaces de la vaccination ne sont pas confirmés.
Enfin, ce que j'écris ici, ailleurs sur le net, ça ne passera pas, ce sera censuré, ou les algorithmes empêcheront que ce soit lu par un public en en évitant la sélection. Le contrôle de l'information sur internet est devenu profondément terrifiant.

Rimbaud à la fin de l'année 1871, il y a 150 ans, ce que vous trouvez naturel de dire sur la Commune, pour lui c'était inimaginable en public.

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