Oui, je sais, l'article est encore à écrire, mais tout est dans le titre, je vais écrire l'article complet.
L'article d'Olivier Bivort est en ligne : "Les vies absentes...", il n'y a pas d'identification de "C'est moi" comme source à la première des ariettes. Sur son site personnel, Christian Hervé dans la section des intertextes ne rapporte que la citation de Favart et propose un rapprochement avec un extrait des Goncourt.
Les articles de Fongaro remontent aux années soixante si pas cinquante sur les échos verlainiens et Desbordes-Valmore et ils n'ont pas rapporté l'idée que Verlaine s'est inspiré de la poétesse douaisienne pour sa première ariette. On ne retient que la quatrième, pareil pour Murphy. Pour la quatrième, je citerai tous les poèmes où le mot "pleureuse" est employé par Marceline, mais il suffit de lire la première ariette de Verlaine et "C'est moi" l'un après l'autre, et l'évidence du lien apparaît.
Desbordes-Valmore comédienne a joué à Bruxelles au Théâtre de la Monnaie, lien avec Favart du coup, et on pense au poème "Juillet", avec une scène sur le parc royal....
Tadadam !
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