Je ne vais pas publier immédiatement un article sur ce blog au sujet du livre Cosme de Guillaume Meurice. Comptez sur une surprise.
Ce livre contient un chapitre que je considère très dérangeant d'interprétation de Voyelles. J'ai lu ces pages, mes notes sont prêtes. L'auteur de ce chapitre, Cosme, et non l'humoriste Meurice, traite avec mépris les rimbaldiens autorisés, mais il oppose aux idioties qu'il leur prête des idées dont il ne précise pas qu'elles ont déjà été formulées avant lui. En général, quand on daube un groupe, on lui oppose au moins quelque chose qui lui est étranger, des idées personnelles quoi ? Ce fanfaron d'orgueil n'apporte qu'une seule clef personnelle, et on verra à quel point elle est dérisoire. Sa lecture n'en est même pas vraiment une et une fois sa clef donnée il noie le poisson avec du fourre-tout. Il finit par deux gadgets sur le chiffre de la bête.
Je rédigerai plus tard ma réponse sur ce blog, mais je vous déconseille fortement de perdre votre temps avec cet ouvrage, on a le nouvel Eddie Breuillant.
Je vous mets un lien assommant, un entretien tout récent où Meurice et Cosme parlent de ce livre. Vous pourrez remarquer qu'à plusieurs reprises Cosme, ce génie poétique qui discute d'égal à égal avec Rimbaud, a besoin de Meurice ou même du public pour finir ses phrases, alors qu'il ne s'agit que d'exprimer des idées toutes simples.
Inquiétant ! Affligeant, comme vous voulez ! C'est du buzz médiatique appuyé, que dis-je porté à bout de bras par une solidarité d'humoriste corrosif...
Inquiétant ! Affligeant, comme vous voulez ! C'est du buzz médiatique appuyé, que dis-je porté à bout de bras par une solidarité d'humoriste corrosif...
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