tag:blogger.com,1999:blog-6825711916074358486.post3741577569133116181..comments2024-03-18T10:43:10.955-07:00Comments on Enluminures (painted plates): Petites remarques incidentes, parfois amusantes, sur la guerre franco-prussienne et les poèmes de RimbaudDavid Ducoffrehttp://www.blogger.com/profile/11857014836500885270noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-6825711916074358486.post-12496503551092105972017-06-05T16:34:55.907-07:002017-06-05T16:34:55.907-07:00J'oubliais, dans "Le Mal", il est qu...J'oubliais, dans "Le Mal", il est question de "cent milliers d'hommes" devenant un "tas fumant". La Débâcle première partie, chapitre V : Maurice s'est blessé le pied, il a pu se retirer dans la ville pour la nuit, il est à nouveau près de l'empereur et reçoit de précieuses informations. Il médite tout ça : "Le plan du général Palikao [...] déjà téméraire le 23 [...] possible peut-être encore le 25 [...]devenait, le 27, un acte de pure démence [...] Ce fut la nuit du crime, la nuit abominable d'un assassinat de nation ; car l'armée dès lors se trouvait en détresse, cent mille hommes étaient envoyés au massacre." Zola va m'aider à dater "Le Mal" de la toute fin août pratiquement.David Ducoffrehttps://www.blogger.com/profile/11857014836500885270noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6825711916074358486.post-54062274942403076622017-06-05T16:18:02.694-07:002017-06-05T16:18:02.694-07:00Mouais. Je me réfère à La Débâcle pour contextuali...Mouais. Je me réfère à La Débâcle pour contextualiser, mais si vous voulez du facétieux, on peut encore prolonger avec un écho au cabaret-vert : (Première partie, III) Maurice, croyant qu'on va repartir sur Paris, s'offre une journée libre pour aller manger. "Et c'était bon enfant, gai et joli, toute la vieille guinguette française. / Une belle fille, de poitrine solide, vint lui demander, en montrant ses dents blanches : "Est-ce que monsieur déjeune ? / - Mais oui, je déjeune !... Donnez-moi des oeufs, une côtelette, du fromage!.... Et du vin blanc!""<br />Je vous épargne les passages avec l'expression "cigare aux dents" et toute la superficialité de la fumée tabagique.David Ducoffrehttps://www.blogger.com/profile/11857014836500885270noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6825711916074358486.post-69432581026051167352017-06-04T23:57:56.777-07:002017-06-04T23:57:56.777-07:00Le premier lecteur un peu facétieux venu vous le d...Le premier lecteur un peu facétieux venu vous le dira : le soldat Duval meurt le flanc droit percé de deux balles.<br />Zola décrit parfaitement cette scène dans le rapport que vous citez : la nature nous somme de regarder ce tableau viride exactement comme elle. Avec indifférence.<br />J'aime vous sentir.Alfhttps://www.blogger.com/profile/05088545579613066773noreply@blogger.com